jeudi 31 juillet 2014

Libérons la Palestine !


El pueblo unido jamás será vencido,
Le peuple uni ne sera jamais vaincu,
¡ El pueblo unido jamás será vencido !
Le peuple uni ne sera jamais vaincu !
De pie, cantar, que vamos a triunfar.
Debout, chanter, que nous allons triompher.
Avanzan ya, banderas de unidad,
Ils avancent déjà, drapeaux d'unité,
Y tú vendrás marchando junto a mí
Et tu viendras, allant à mes côtés,
Y así verás tu canto y tu bandera florecer.
Et ainsi tu verras ton chant et ton drapeau fleurir.
La luz, de un rojo amanecer
La lumière, d'un rouge lever de jour
Anuncia ya la vida que vendrá.
Annonce déjà la vie qui viendra.
De pie, luchar, el pueblo va a triunfar.
Debout, combattre, le peuple va triompher.
Será mejor la vida que vendrá
La vie qui viendra sera meilleure
A conquistar nuestra felicidad,
Conquérir notre félicité,
Y en un clamor mil voces de combate
Et en une clameur, mille voix de combat
Se alzarán, dirán,
Se soulèveront, ils diront,
Canción de libertad,
Chanson de liberté,
Con decisión la patria vencerá.
Décidée, la patrie vaincra.
Y ahora el pueblo que se alza en la lucha
Et maintenant, le peuple qui se soulève dans la lutte
Con voz de gigante gritando : ¡ Adelante !
Avec des voix de géants criants : En avant !
El pueblo unido jamás será vencido,
Le peuple uni ne sera jamais vaincu,
¡ El pueblo unido jamás será vencido !
Le peuple uni ne sera jamais vaincu !
La patria está forjando la unidad.
La patrie forge l'unité.
De norte a sur se movilizará,
De nord au sud, elle se mobilisera,
Desde el Salar ardiente y mineral
Du Salar (1) ardent et minéral
Al Bosque Austral,
A la forêt austral,
Unidos en la lucha y el trabajo, irán
Unis dans la lutte et dans le travail, ils iront
La patria cubrirán.
Ils couvriront la patrie.
Su paso ya anuncia el porvenir.
Son pas annonce déjà l'avenir.
De pie, cantar, que el pueblo va a triunfar
Debout, chanter, que nous allons triompher
Millones ya imponen la verdad.
Des millions déjà imposent la vérité.
De acero son, ardiente batallón.
Ils sont d'acier, ardent bataillon.
Sus manos van llevando la justicia
Leurs mains vont porter la justice
Y la razón, mujer,
Et la raison, femme,
Con fuego y con valor,
Avec feu et valeur,
Ya estás aquí junto al trabajador.
Déjà tu es ici, avec du travailleur.
Y ahora el pueblo que se alza en la lucha
Et maintenant, le peuple qui se soulève dans la lutte
Con voz de gigante gritando : ¡ Adelante !
Avec des voix de géants criants : En avant !
El pueblo unido jamás será vencido,
Le peuple uni ne sera jamais vaincu,
¡ El pueblo unido jamás será vencido !
Le peuple uni ne sera jamais vaincu !

Sainte Tulle, ce soir à 19h : Hommage à Jean Jaurès 1914 - 2014


Hommage à Jaurès - Centième anniversaire de l'assassinat de Jean Jaurès

Histoire. Le centenaire de l’assassinat de Jean Jaurès permet de revenir sur l’incroyable vie de cette personnalité hors du commun, homme politique et journaliste, courageux et intelligent.

31 juillet 1914. Au Café du croissant, au centre de Paris, Jean Jaurès est atteint à la tête par deux balles tirées par Raoul Villain, membre de la ligue ultra-nationaliste des jeunes amis d’Alsace Lorraine. Le principal opposant à la guerre est tué. Le lendemain, l’Allemagne mobilise. Le 3 août, elle déclare la guerre à la France. Le pays entre dans la tourmente de la première guerre mondiale. La gauche pacifiste bascule dans « l’union sacrée » patriotique pour faire face à l’agresseur allemand.

Collectif Palestine 04 : Urgence de la Paix et du Droit

Une lettre "pétition" signée par environ 300 personnes a été remise hier, mercredi 30 juillet 2014, à la Préfecture de Digne les Bains pour transmission au Président de la République.

mercredi 30 juillet 2014

Traduction inédite du plus beau portrait de Karl Marx, écrit trois ans avant sa mort - RAGEMAG.FR

Marx n’a plus que trois ans à vivre. John Swinton, journaliste américain et futur candidat au Progressive Labor Party, retrouve en Angleterre le théoricien révolutionnaire allemand. Le portrait qu’il dressera de lui, après plusieurs heures passées à ses côtés, témoignera de l’admiration qu’il portait à l’auteur du Capital. Un portrait magnifique resté, jusqu’ici, inaccessible aux francophones.

Février 1848. Un banquet réformiste qui devait se tenir aux Champs-Élysées est annulé. L’incident, a priori sans grande importance, va entraîner la chute du Roi. Manifestations et Marseillaise dans les rues de la capitale ; le monarque ne cille pourtant pas : « Les Parisiens savent ce qu’ils font ; ils ne troqueront pas le trône pour un banquet. » Le peuple en colère brandit le pavillon rouge et les soldats, comme de juste, leur font face. Un coup de feu retentit ; les corps s’écroulent sur les pavés. Qui a tiré ? Un sergent, sans nul doute. Des ouvriers remplissent un chariot des cadavres encore chauds et, trois heures durant, circulent dans tout Paris pour révéler à leurs compatriotes la vraie nature de cette monarchie aux mains assassines. Les insurgés prennent l’Hôtel de Ville ; Louis-Philippe abdique et s’enfuit en fiacre. Lamartine, d’un balcon, proclame la Deuxième République. Le gouvernement provisoire fait bonne figure : tous démocrates et libéraux le petit doigt sur la couture du pouvoir. Le drapeau rouge est banni.

Karl Marx, alors en Belgique, rejoint Paris. Son Manifeste du Parti communiste, rédigé avec Engels, est publié le même mois. Les premières lignes de l’ouvrage entrent dans l’arène puis dans l’Histoire  : « Un spectre hante l’Europe : le spectre du communisme. Toutes les puissances de la vieille Europe se sont unies en une Sainte-Alliance pour traquer ce spectre : le pape et le tsar, Metternich et Guizot, les radicaux de France et les policiers d’Allemagne. » La Révolution échoue ; Marx est expulsé à deux reprises. Il s’installe à Londres, en 1849, et ne quittera plus l’Angleterre jusqu’à la fin de son existence. Trois décennies d’exil. Nul n’est Prophète sur Terre – encore moins lorsqu’on promet à celle-ci le Paradis.

...

Karl Marx

par John Swinton

Palestine


dimanche 27 juillet 2014

Je me bats


Mêm'si l'heure est parfois à la désespérance
Attendu que la frime gouverne et fait sa loi
Même si les années dans lesquelles on s'avance
Ont la couleur du triste et du chacun pour soi
Même si le bonheur n'est plus une évidence
Mais semble s'éloigner à chacun de nos pas
Même si l'on me dit que c'est perdu d'avance
Que le monde est ainsi et qu'on n'a pas le choix

Je me bats
Même si maintenant c'est être en résistance
Et risquer d'être seul(e) que d'élever la voix
Pour dire sans relâche l'incroyable arrogance
Des plus riches que tout, des maîtres d'ici-bas
Même si le normal, c'est l'infinie souffrance
Des enfants décharnés aux yeux vidés, sans joie
Même si le correct se nomme indifférence
Même s'ils parlent fort ceux qui baissent les bras
Je me bats

Je suis d'un temps d'espoir d'un temps de délivrance
Où l'on osait rêver, et les peuples là-bas
Faisaient tomber leurs chaînes et brisaient le silence
Oh les jolis printemps au parfum de lilas
Devant nous se levaient des matins d'innocence
Plus jamais il n'y aurait d'humiliés, de parias
Plus jamais d'esclavage, et plus de violence
N'était-ce pas simplement raison, dites-moi ?

Je me bats
Aujourd'hui les passants sous les néons sinistres
Vont chacun dans leur bulle et pressent un peu le pas
Les voyous brassent l'or, les bornés sont ministres
Et l'on met chapeau bas devant les renégats
L'époque est au commerce l'époque est aux combines
L'homme n'est qu'un objet que la finance broie
Le futile et l'idiot remplissent les vitrines
Cependant qu'au lointain ricane l'argent roi
Je me bats

Avec mes simples mots, avec mes pauvres armes
Avec les sacrifiés, les vaincus d'autrefois
Tous ceux qui n'avaient rien que leur sang et leurs larmes
Les mineurs les canuts les pioupious les sans-droits
Avec les femmes usées, petites sœurs de misère
Des bas quartiers de boue où se terrent les rats
Avec tous ceux d'ici qu'habité la colère
Avec les méprisés et ceux qui n'oublient pas
Je me bats

Si longtemps que j'aurai la force, qu'on le sache
De me tenir debout, de chanter, d'être là
Tant qu'il me restera une once de panache
Tant que dans mes veines un sang rouge coulera
Je me battrai encore et toujours et sans cesse
Pour saluer la vie qui palpite et qui bat
Et quand je m'en irai ce sera sans tristesse
Puisque d'autres viendront qui diront après moi
Je me bats !

samedi 26 juillet 2014

Charles-Louis Philippe



"Tout est un ennemi pour le pain des pauvres. Ce qu'ils aiment est un ennemi, ce qu'ils détestent est un ennemi. Les jours de bonne santé, Solange Blanchard avait un peu plus d'appétit et mangeait un peu trop de ce pain qu'elle avait eu tant de mal à gagner. Les jours de maladie, elle en mangeait un peu moins que d'ordinaire, mais elle craignait que la maladie n'en vînt à l'empêcher à aller gagner son pain. La joie comme la douleur étaient à craindre... Et c'était aussi le loyer, et le temps qui séparait chaque paiement de terme était aussi un ennemi du pain... Quand ils marchaient, ils faisaient tort au pain, car ils usaient leurs sabots. Quand ils étaient assis, leurs habits frottaient contre la paille de leur chaise. Quand ils étaient dehors, la pluie noyait le tissus de leurs vêtements, ou bien le soleil le pompait, ou bien la boue le mangeait. Et le linge qu'on salit ! Et ce n'était pas tout, où qu'elle se tournât, elle était en lutte contre les ennemis de son pain. C'était l'enfant qui grandissait. Il allait falloir, pour acheter des vêtements, bien de l'argent, avec lequel on n'achèterait pas du pain. Le pain qu'il avait mangé le faisait grandir. Le pain, lui-même, faisait la guerre au pain".

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"J'ai une impression de classe. Les écrivains qui m'ont précédé sont tous de classe bourgeoise. Je ne m'intéresse pas aux mêmes choses qu'eux. Toutes les crises morales de la littérature sont des crises morales de la bourgeoisie... J'ai bien davantage à penser au travailleur et au pain quotidien. Barrès éprouve le besoin d'aller à Tolède et à Venise pour trouver son âme. Moi je la trouve dans le peuple qui m'entoure. Je lui disais : " Vous séparez les gens par nationalités, tandis que je sens la séparation des classes..." Oui, je sens, autant qu'il est possible,les souffrances des plus humbles classes et mon âme est venue toute seule au bout de mon bras avec mon pain quotidien". 

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Les Taureaux - Gaston Couté

Bourgeois! nous sommes des taureaux
Captifs en vos arènes rouges,
Aux yeux d'une foule de gouges
De michés et de maquereaux
Bourgeois ! nous sommes des taureaux !

Bourgeois! nous sommes des taureaux
Que l'on torture et que l'on tue,
Et votre bêtise institue
Une gloire pour nos bourreaux
Bourgeois ! nous sommes des taureaux !

Bourgeois! nous sommes des taureaux
Qui démolirons nos barrières
Et ce jour-là dans vos derrières
Nos cornes feront des accrocs
Bourgeois ! nous sommes des taureaux !

(Du 22 au 28 octobre 1899)
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photo Gaston Couté IL Y A CENT ANS NAISSAIT GASTON COUTE
par Gaston Coutant, conservateur et secrétaire de l'association " Les Amis de Gaston Couté "
(extrait du numéro 23 du "Journal de la Sologne" paru en hiver 78) 
Gaston Couté naissait il y a cent ans le 23 septembre 1880. Farouchement marginal, épris de liberté jusqu'à la violence, le mépris des imbéciles devait sans doute le remplir d'aise. 

Campagne internationale de libération de tous les prisonniers politiques palestiniens



La "Platon noir" - Portrait de C.L.R. James


Né en 1901 à Tunapuna sur l’île de Trinidad, alors colonie de la Couronne britannique, et mort dans le quartier de Brixton à Londres en 1989, Cyril Lionel Robert James est une figure majeure de l’histoire intellectuelle et politique du XXe siècle, qu’il a traversée de part en part. Encore largement méconnu en France, où n’ont à ce jour été traduits que son classique, Les Jacobins noirs : Toussaint Louverture et la révolution de Saint-Domingue, ainsi qu’un recueil de textes Sur la question noire aux États-Unis, James est l’auteur d’une œuvre foisonnante. Dans le monde anglophone, sa pensée nourrit les pensées critiques contemporaines, tout particulièrement la théorie marxiste et les cultural et postcolonial studies, qui se partagent et souvent se disputent son héritage.

Cricket et littérature

 

De son enfance à Trinidad, James aimait évoquer le souvenir de ses deux passions : le cricket d’un côté, qui, de son aveu même, instille en lui pour toujours l’éthique puritaine de l’Angleterre victorienne ; la littérature de l’autre, en particulier les œuvres des grands écrivains anglais, Shakespeare, Dickens et surtout le Thackeray de La Foire aux vanités. Élève puis enseignant au Queen’s Royal College de Port of Spain, James désire poursuivre une carrière littéraire. Il écrit plusieurs nouvelles remarquées (La Divina Pastora, Turner’s Prosperity, Triumph) et un roman, Minty Alley, qui dépeignent la vie quotidienne dans les quartiers pauvres (barrack-yards) de la ville.
Faisant ses premiers pas en politique, il devient un partisan réformateur de l’autonomie (self-governement) des Antilles, sinon de leur indépendance, et rédige un ouvrage sur une figure politique locale, The Life of Captain Cipriani : An Account of British Government in the West Indies, dans lequel il écrit :
N’importe quel homme qui tente de faire pour les siens ce que les Anglais sont si fiers d’avoir vu accomplir par les leurs, devient immédiatement une personne dangereuse dans les yeux du colon anglais, un révolutionnaire sauvage, un homme sans respect pour l’ordre public […]. Ce qui est la plus grande vertu chez eux devient le plus grand crime dans les colonies.

vendredi 25 juillet 2014

Pacte de responsabilité : Rapport de la sénatrice communiste Michelle Demessine


http://www.michelledemessine.fr/

 Le pacte de responsabilité va détruire plus d'emplois qu'il ne va en créer. Le rapport ci-dessous (non publié car dérangeant) confirme que l'effet positif sur l'emploi des politiques d’exonération n'est pas démontré et que celles-ci, constituent surtout un piège à bas salaires et une réforme de fait du financement du système de protection sociale.


Source : L 'Humanite.fr

Repas républicain de l'Assemblée Citoyenne - 14 Juillet 2014

Un 14 juillet organisé par l'Assemblée citoyenne de Manosque avec plus de 50 personnes partageant un repas fraternel et délicieux, des plats préparés avec amour dont le fameux pâté qui a beaucoup fait parlé sur les tables. Sous une chaleur supportable dans le parc de l'ancienne Auberge de Jeunesse à Manosque, ce moment de fraternité était ouvert à toutes celles et tous ceux qui aspirent à un changement de cap en France et en Europe, permettant de sortir de la crise en rompant avec les politiques austéritaires et libérales actuelles. Il s’est terminé par un concours de boules bien disputés; les vainqueurs remettront surement leur titre en jeu l'année prochaine.

Source : http://04.pcf.fr/57354


dimanche 20 juillet 2014

200 personnes au rassemblement de solidarité pour la Palestine à Manosque - 19/07/2014




























Avec la recrudescence des violences et des actions entre la Palestine et Israël, de nombreuses manifestations ont eu lieu à travers la France en cette fin de semaine. Ce samedi, à l'appel du collectif Palestine 04 "l'urgence de la paix et du droit", ce sont environ 200 personnes qui se sont rassemblées à la Porte de la Saunerie à Manosque pour protester contre les opérations israéliennes en Palestine ces derniers jours.
Dès 9h30, ils étaient nombreux à se rassembler pour "dénoncer ces actes envers le peuple palestinien. Halte au massacre !" affirmaient même certains manifestants. Pour d'autres, "les bombardements israéliens et les opérations de ces derniers jours ont fait des centaines de morts à Gaza, sans compter la destruction de sites comme des écoles, des équipements de santé. Cela ne peut plus durer. Le droit international doit être respecté !"
Pour le collectif "une nouvelle fois le pouvoir israélien déclenche un déluge de feu sur Gaza, au prétexte de tirs de roquettes, mais avec pour objectif réel de mettre fin au gouvernement palestinien d’entente nationale, condition pourtant nécessaire à tout progrès vers une paix juste et durable dans l’intérêt des peuples Israélien et Palestinien et pour la paix dans le monde".
Devant cette situation, "les gouvernements occidentaux, dont celui de la France, se contentent une nouvelle fois de "dénoncer l’engrenage de la violence" sans condamner le responsable de cette nouvelle tragédie et appelant seulement le gouvernement israélien "à la retenue". Nous dénonçons cette passivité coupable de nos gouvernants, et exigeons des engagements concrets de la France au sein du Conseil de Sécurité de l'ONU pour l'arrêt des bombardements sur Gaza, pour l'arrêt de la répression israélienne en Cisjordanie et Gaza, pour l'arrêt de la colonisation,..."
Parmi les 200 manifestants de ce samedi matin à Manosque, on retrouvait les différentes organisations membres du Collectif Palestine 04 "l'urgence de la paix et du droit" comme les mouvements politiques du Parti Communiste, du Parti de Gauche, d'Europe Ecologie Les Verts, la CGT, ACAT, Femmes Solidaires, la LDH, le Mouvement de la paix... ainsi que le NPA qui s'est joint à la manifestation en nombre.
- See more at: http://www.hauteprovenceinfo.com/article/19/07/2014/200-personnes-au-rassemblement-de-solidarite-pour-la-palestine--manosque/4754#sthash.fGTUFUjB.dpuf

200 personnes au rassemblement de solidarité pour la Palestine à Manosque


Le collectif Palestine 04 a organisé ce samedi 19 juillet une manifestation à Manosque pour protester contre les actions menées en Palestine par Israël.

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200 personnes au rassemblement de solidarité pour la Palestine à Manosque


Le collectif Palestine 04 a organisé ce samedi 19 juillet une manifestation à Manosque pour protester contre les actions menées en Palestine par Israël.

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Un engagement citoyen en faveur de la paix - La Marseillaise 14/07/2014


Ce sont plusieurs dizaines de personnes qui se sont rassemblées samedi 12 juillet en fin de matinée devant la mairie de Manosque pour protester contre l’escalade de la violence en Palestine et les bombardement dans la zone de Gaza. Le Mouvement de la paix, le Front de gauche, le NPA ont répondu à l’appel, ainsi que des élus municipaux de la cité de Giono tels que Claude Testanière, Émilie Lauvergeon et Martine Carriol pour le Front de gauche et Michel d’Angelo et Franck Parra pour le PS, ont répondu à l’appel.

Que la paix résonne enfin - La Marseillaise 20/07/2014


A l’appel du Réseau Palestine, des milliers de personnes ont défilé samedi 19 juillet  depuis le Vieux-Port de Marseille jusqu’à la préfecture des Bouches-du-Rhône. Objectif : dénoncer les bombardements sur Gaza.

Sous l’ombrière du Vieux-Port, des centaines de personnes s’agglutinent. Têtes braquées vers le miroir qui les surplombe. Un mime se joue dans le reflet. « C’est pour représenter les bombardements sur Gaza », glisse une jeune fille, keffieh autour du cou. Les applaudissements fusent. Puis des cris : « Israël assassin. » Soudain la foule grossit. Plusieurs milliers de manifestants grondent. Des drapeaux palestiniens parsèment les rangs. Un écriteau annonce : « Gaza, on souffre et on se battra avec toi. »

Revues

Progressistes : Dossier Europe et Coopérations - 2ème Trimestre 2014 : Lire en ligne ici

La Revue du Projet : Le Corps - Juin 2014 : Lire en ligne ici

Communistes : Juin 2014 : Lire en ligne ici

La lettre des relations internationales : Avril 2014 : Lire en ligne ici

Halte au massacre du peuple palestinien




L’indemnisation pour l’Occupation




  1. Résumé
 Durant les 41 années d’une occupation toujours en cours, Israël a mis en oeuvre des politiques violant le droit international et causant un tort significatif aux Palestiniens. En tant que puissance d’occupation, Israël se doit d’indemniser les Palestiniens pour les actes qu’il a commis en violation des normes reconnues du droit international. De tels actes illégaux comprennent, entre autres : la colonisation des territoires occupés; l’exploitation illégale de l’eau et d’autres ressources naturelles; la pollution de l’environnement; la confiscation de propriétés culturelles; la perception de taxes qui n’ont pas été réinvesties dans les territoires occupés; et l’usage excessif de la force contre la population civile palestinienne.

Les relations économiques et commerciales




  1. Résumé
 Dans le prolongement de son occupation de la Cisjordanie et de la bande de Gaza en 1967, Israël a mis en oeuvre des politiques économiques conçues pour éliminer l’autonomie de l’économie palestinienne. Plus particulièrement, la capacité d’Israël à contrôler le mouvement des marchandises à l’intérieur des territoires occupés, ainsi qu’à l’extérieur de ceux-ci (en imposant ses politiques d’importation et d’exportation) a eu un impact dévastateur sur l’économie palestinienne.

Les relations bilatérales




Les 41 années d’occupation israélienne ont eu un impact considérable sur des pans entiers de la vie des Palestiniens. Durant plusieurs décennies, les Palestiniens ont été soumis à une dépendance totale envers Israël dans de nombreux secteurs d’activité, ce qui les a empêchés de développer pleinement leur potentiel économique. Afin de devenir un Etat autonome et souverain, l’Etat palestinien devra surmonter cette dépendance.Pour rendre possible la transition à un Etat palestinien viable, plusieurs questions liées à la manière dont Israël et la Palestine envisagent leurs futures relations bilatérales doivent être posées.

L’eau



  1. Résumé

Le Proche-Orient est l’une des régions au monde où les ressources en eau sont les plus limitées. Il est donc essentiel que l’eau y soit partagée équitablement. Depuis l’occupation des territoires palestiniens débutée en 1967, Israël a pris contrôle de presque la totalité des ressources en eau palestiniennes, et a refusé aux Palestiniens l’accès à leur part légitime d’eau, en violation du droit international. De plus, Israël utilise primordialement ces ressources communes en eau pour le bénéfice de sa propre population civile et de ses colonies illégales. En raison du refus imposé par Israël de voir les Palestiniens exploiter leurs propres ressources en eau, les communautés palestiniennes de Cisjordanie ont été contraintes d’acheter leur eau à des compagnies israéliennes, alors même que l’eau nécessaire à satisfaire leur demande est présente sous leurs pieds.

Frontières et problèmes afférents



  1. Résumé

Une délimitation précise et convenue des frontières ainsi que la résolution des questions y afférentes sont nécessaires à la définition d’une solution permettant la coexistence de deux États viables. La position palestinienne sur ce que doivent être les frontières de l’État palestinien s’est amplement transformée depuis 1948. Le mouvement national palestinien réclamait à l’origine la reconnaissance de son droit à l’autodétermination sur l’ensemble de la
Palestine historique. Toutefois, depuis 1988, dans le but de mettre fin au conflit et d’arriver à une paix durable, l’OLP a accepté d’établir l’État palestinien sur 22% de la Palestine historique, à savoir sur les territoires occupés par Israël après la guerre de 1967, avec Jérusalem-Est pour capitale. L’État d’Israël a ainsi été reconnu par l’OLP sur 78% des territoires restants. En dépit de ce compromis historique, Israël continue de redessiner unilatéralement la frontière entre Israël et les territoires palestiniens, par des «faits accomplis
» comme le mur et l’entreprise coloniale, en violation du droit international et des résolutions de l’ONU.

Les Colonies





1.      Résumé

Depuis 1967, Israël s’est lancé dans une campagne de colonisation des territoires occupés palestiniens matérialisée par le transfert systématique de parties de sa population civile juive en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, en violation de la Quatrième Convention de Genève de 1949. À ce jour, plus de 470 000 colons israéliens, dont plus de 185 000 établis à l’intérieur et aux alentours de Jérusalem-Est occupée, vivent dans des colonies situées dans les territoires occupés sur des terres illégalement confisquées à leurs propriétaires palestiniens. Ces colonies varient en taille, allant de colonies ou «avant-postes» nouvellement créés et constitués de quelques mobiles homes à des villes entières comprenant des dizaines de milliers de colons.

Jérusalem



  1. Résumé
 Pendant des siècles, Jérusalem a été le centre politique, administratif, culturel et religieux de la Palestine. La municipalité de Jérusalem-Est – un secteur s’étendant de Ramallah à Bethléem – a été pendant longtemps le coeur de l’économie palestinienne. Sans Jérusalem-Est, il ne peut y avoir d’Etat palestinien économiquement et politiquement viable, et donc de paix durable.

Réfugiés



  1. Résumé

Rien n’est sans doute plus emblématique de l’expérience palestinienne au XXe siècle que le sort subi par environ 7 millions de réfugiés palestiniens. Environ 70% des Palestiniens dispersés de par le monde sont réfugiés. Ils constituent la plus grande population de réfugiés au monde (un réfugié sur trois sur la planète est palestinien). Près de la moitié des réfugiés et personnes déplacées palestiniens est apatride. Depuis des décennies, Israël nie le droit élémentaire de ces réfugiés de choisir de retourner dans leur pays d’origine.

Le Droit International : un cadre indispensable pour les négociations



L’OLP croit qu’une paix réelle ne sera possible que par le biais d’un accord avec Israël. Elle reconnaît que pour atteindre cette paix durable, les deux parties devront éprouver le sentiment que leurs droits ont été préservés, et que leurs souffrances ainsi que leurs besoins ont été reconnus. 

samedi 19 juillet 2014

Ce que les Palestiniens attendent des négociations sur le Statut Permanent




Les principaux objectifs poursuivis par l’OLP à travers son engagement dans des négociations bilatérales avec Israël sont d’assurer l’accomplissement des droits nationaux palestiniens tels que reconnus par le droit international, de garantir une fin au conflit israélo-palestinien, et d’atteindre une paix juste, durable et complète. Cela nécessitera la fin de l’occupation et de la colonisation israélienne, la réalisation du droit des Palestiniens à l’autodétermination à travers l’établissement d’un Etat palestinien indépendant et souverain en Cisjordanie et dans la bande de Gaza avec Jérusalem-Est comme capitale, ainsi qu’une résolution juste au problème des réfugiés. L’Etat palestinien devra être politiquement, économiquement et territorialement viable. Il en va de l’intérêt des deux parties, israélien et palestinien.

De la seconde Intifada à aujourd’hui



Le 28 septembre 2000, Ariel Sharon, alors chef de l’opposition israélienne, fit une visite provocante sur le troisième lieu saint de l’Islam, al-Haram al-Sharif, dans la vielle ville de Jérusalem. Sa visite, accompagnée par la présence d’imposantes forces de sécurité israéliennes à l’intérieur et autour de la vielle ville, raviva les frustrations palestiniennes qui s’étaient développées au cours de sept années de négociations infructueuses.

La paix compromise : Les faits accomplis israéliens - De 1993 à 2000





* La population des colons israéliens a augmenté de33% de 1993 à 1999. En 1993, la population de colons, Jérusalem-Est occupée incluse, comptait 268 000 personnes. En 1999, elle atteignait 357 000 personnes.

Palestine : Quinze ans de processus de paix - Vue d'ensemble



Négociations israélo-palestiniennes, d’Oslo à Camp David : rétrospective

Entre 1993 et 1999, l’OLP et Israël ont signé plusieurs accords généralement connus sous le nom d’«Accords d’Oslo», qui ont ouvert une période transitoire durant laquelle les questions relatives au Statut Permanent devaient être négociées et résolues. Les Accords d’Oslo étaient basés sur l’idée que les parties développeraient progressivement une relation de confiance qui leur permettrait de résoudre les questions centrales, et plus difficiles, du Statut Permanent – parmi lesquelles, Jérusalem, les réfugiés, les colonies, les frontières, l’eau, et la sécurité. 

Palestine


Au XXe siècle, en raison des politiques poursuivies par les puissances coloniales et de la création de l’Etat d’Israël en 1948, les Palestiniens ont été dépossédés de leur terre, condamnés à l’exil et vivent, aujourd’hui encore, sous occupation. Au XXIe siècle, ils luttent pour en finir avec l’occupation militaire de leur terre qui a débuté en 1967, et construire un Etat indépendant, souverain et viable. L’Organisation pour la Libération de la Palestine, OLP, qui fut fondée en 1964, mène cette lutte pour la liberté et la fondation d’un Etat. L’OLP croit en la vertu de négociations directes et y voit l’unique moyen de construire une paix juste, durable et complète entre les peuples palestinien et israélien. 

dimanche 13 juillet 2014

Rapport Comede 2014


Rapport Comede 2014, incluant les données d'observation 2013-2014 et les données d'activité 2013.

dimanche 6 juillet 2014

L'Estaca - Lluis Llach


L'avi Siset em parlava
De bon matí al portal,
Mentre el sol esperàvem
I els carros vèiem passar.
Siset, que no veus l'estaca
On estem tots lligats ?
Si no podem desfer-nos-en
Mai no podrem caminar !

(refrain)
Si estirem tots, ella caurà
I molt de temps no pot durar :
Segur que tomba, tomba, tomba !
Ben corcada deu ser ja.
Si tu l'estires fort per aquí
I jo l'estiro fort per allà,
Segur que tomba, tomba, tomba
I ens podrem alliberar.

Però, Siset, fa molt temps ja :
Les mans se'm van escorxant,
I quan la força se me'n va
Ella és més ampla i més gran.
Ben cert sé que està podrida
Però és que, Siset, pesa tant
Que a cops la força m'oblida.
Torna'm a dir el teu cant É

L'avi Siset ja no diu res,
Mal vent que se l'emportà,
Ell qui sap cap a quin indret
I jo a sota el portal.
I mentre passen els nous vailets
Estiro el coll per cantar
El darrer cant d'en Siset,
El darrer que em va ensenyar

jeudi 3 juillet 2014

Les Rencontres Déconnomiques - Aix en Provence

Programme ici
Les Rencontres Déconnomiques 2014 seront donc joyeuses, festives, taquines, inventives, créatives, mais aussi studieuses. L’ambition est de démontrer que la pensée économique est foisonnante, qu’elle ne se limite pas à une pensée unique développée sur les médias dominants pour le plus grand profit de l’oligarchie. De plus, les Rencontres Déconnomiques « expertiseront » ces experts pour mettre en évidence les éventuels conflits d’intérêts.

 Seront présents cette année : 

• Daniel Mermet, journaliste, producteur de l’émission « Là-bas si j’y suis » « Comment faire comprendre le CAC 40 à ma mère ? » • Bertrand Rothé, agrégé d’économie « Pourquoi le Parti Socialiste a trahi la classe ouvrière » • Gérard Mordillat, cinéaste et romancier « Qu'appelle-t-on aujourd'hui travail ? Qu'appelle-t-on salaire ? » • Serge Halimi, directeur du Monde Diplomatique « “On est présent partout (…)”- PIERRE GATTAZ. Peut-on en sortir ?» • Hervé Kempf, rédacteur en chef de Reporterre « fin de l’Occident, naissance du monde » • Renaud Lambert, rédacteur en chef adjoint au Monde Diplomatique
« Economistes à gages et presse aux ordres : « Juré, c’est fini ! »
• Aurélien Bernier, essayiste « La gauche radicale et ses tabous » • Pierre Bachman, ingénieur, syndicaliste et Yves Schwartz, professeur émérite des universités « A quelles conditions une "cité du travail" ? » • Patrice Brasseur « Où va le monde ? Crise de conscience, crise de croissance » • François Ruffin, reporter et fondateur du journal Fakir « Vos hormones sont-elles de gauche? » • Fabrice Aubert, ingénieur économiste « Derrière le « libre échange » des apparences, le protectionnisme mondialisé des échanges »• Jean-Pierre Berlan, agronome et économiste, ancien directeur de recherche à l’INRA « C'est donc la vie qui a tort » Aurélien Boutaud, environnementaliste « Quelle solidarité dans une économie sans croissance ? » • Eric Stemmelen, docteur en sciences économiques « Détruisez les perceptions, construisez des prisons !» • Léo Carpentier, étudiant à Sciences Po Aix-en-Provence et Fréderic Bosqué, (à confirmer) « Les monnaies citoyennes » • René Teboul, maitre de conférences en économie politique « Pourquoi et comment en finir avec l’Europe» • Jean-Philippe Desbordes, journaliste d'investigation, auteur et réalisateur « Le désencodage culturel de l’homo consumérus » • Michel Gairaud, rédacteur en chef du mensuel « Le Ravi » « La PPP ou la Presse Pas Pareille » • Jean-Claude Labranche, économiste, syndicaliste « Miracle ou mirage allemand ? » • Alain Persat, sociologue « La monnaie : Mesure ou marchandise ? Dynamisme ou frein économique ? Liberté ou domination ? »

Fête citoyenne du 14 juillet 2014 sur la Place Robespierre 13009 Marseille




Organisée par le Collectif de Défense de la Place Robespierre


et 

Rendez-vous 

le 14 juillet

sur place !

Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes ?

Au Jardin public
Route d'Apt
Septèmes-les-Vallons
 



Samedi 12 juillet à 19h

La vérité dévoilée !

Le 12 juillet 1964 mourait Maurice Thorez (C'est qui ??), Secrétaire général du Parti Communiste Français. Depuis cinquante ans, ce décès a été attribué à une mort "naturelle". Fantasmagorie de jobastre ! Le fils du peuple a été assassiné!
Pour le cinquantième anniversaire de ce décès la vérité sera révélée.

"J'ai tué Maurice Thorez !" Comédie de Gilles Ascaride. Mise en scène de Serge Valletti avec Gérard Andréani et Gilles Ascaride (texte publié aux éditions du Fioupélan).

Le spectacle est offert par Overlittérature et la municipalité de Septèmes-les-Vallons, sous l'égide du Centre Culturel Aragon.

Les masses populaires, les ouvriers, les paysans, les intellectuels, les travailleurs des bureaux, des usines et des champs, les artistes, les familles et les retraités pourront s'y rendre en masse sans bourse délier, ainsi que les intermittents du spectacle, les chômeurs, les militaires, les étudiants, les SDF, les paguedéguns et aussi tous ceux qui ont un oursin dans le porte-monnaie.

Renseignements : 04 91 96 31 00 ou 04 91 96 31 83
S'il pleut (mais pleut-il un 12 juillet?) repli dans le Théâtre Jean Ferrat.